Pour ce musicien au mélange d’origines gabonaise et bourguignonne, l’environnement c’est d’abord des souvenirs d’enfance. Le lait frais acheté chez la fermière ou les produits locaux choisis sur la marché, des habitudes qui lui ont donné le goût du naturel et appris le plaisir de manger les choses au « tombé de l’arbre ». A 20 ans il découvre le salon Marjolaine et devient accro de ce rendez-vous des inventeurs du bio. Il apprécie l’esprit novateur guidant ces rencontres et sa logique opposée à l’individualisme grandissant de notre société.
Ce n’est donc pas par hasard si sa boîte s’appelle « Organic Djus ». A travers la musique, il cherche à développer la notion de partage, et réinvestit le pécule durement gagné pour faire connaître des artistes en adéquation avec ses valeurs. Car pour ce philanthrope il est grand temps de mieux partager à la fois les richesses, le savoir et la culture.
Son objet fétiche écolo ? Ma veste Ideo en fibres recyclées. Je l’apprécie tellement que j’ai pris la version enfant pour ma fille. Et mon chargeur solaire Solio.
L’objet écolo qu’il aimerait voir inventé : Le concert écolo…
L’objet écolo où non là c’est pas possible: la Smart, au début elle était présentée comme une voiture écolo ! Non ?!!